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Dijon
/ Bourgogne |
La
page économique |
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Un
portail pour les entreprises de Côte-d'Or
Mister Harry, société spécialisée dans la création
de sites professionnels, a ouvert un portail dédié aux entreprises
de Côte d'Or. Pme21 propose un bouquet de services gratuits ou payants
(base de données départementales, espace emploi, horaires
TGV
). Un concept qui devrait être reproduit courant 2002 dans
d'autres départements.
http://www.pme21.com/
saisie le 08/04/2002 - source : http://www.lemoniteur-expert.com/
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Ils
ont choisi Dijon < |
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La
saga Villages Hôtel,
c'est
d'abord celle d'une famille profondément attachée au métier d'hôtelier.
La famille Jacquier acquiert son premier hôtel en 1938 à Dijon. L'hôtel
Central, établissement classique du centre-ville, existe encore aujourd'hui
sous l'enseigne Ibis. Il fait figure de pierre angulaire de l'empire Jacquier.
Certains affirment que l'on naît entrepreneur comme l'on naît mélomane.
Pour d'autres, c'est affaire de culture, familiale ou pas. Chez les Jacquier,
ce serait plutôt une histoire de famille : "mon père déjà s'était battu
pour sa réussite hôtelière, en rachetant chaque part de l'affaire qui
avait échappé à la famille dans les années 40...", explique Patrick Jacquier.
Le bilan ? Quatre hôtels dijonnais, à l'enseigne du groupe Accor (un Sofitel,
un Mercure et deux Ibis), sont gérés par Patrick et Alain Jacquier, en
tandem depuis plus de 10 ans. De l'hôtel grand luxe cinq étoiles à l'établissement
deux étoiles. En 1989, l'idée est dans l'air de monter une chaîne d'hôtels
économiques. Le premier Villages Hôtel va voir le jour le 27 juillet 1990,
à la date d'un grand va et vient de vacanciers, le succès est immédiat,
la locomotive Villages Hôtel va se mettre en marche. Aujourd'hui, 41 établissements
sont dispersés sur tout le territoire français ; le dernier est implanté
à la Villette, le long du périphérique parisien. "Ce qui fait notre différence,
explique Patrick Jacquier, c'est notre métier d'hôtelier, et le soin que
nous apportons à l'accueil. Ensuite, la gestion des sociétés Villages
Hôtel est confiée à des gérants qui exploitent les hôtels. Ceux-ci sont
intéressés directement au chiffre d'affaires et reçoivent en contrepartie
les dividendes de notre croissance." "Nous acceptons les challenges, nous
continuons à travailler de manière très professionnelle mais en conservant
notre caractère familial..." Le système fonctionne parfaitement depuis
dix ans, aucune fausse note n'est venue troubler la progression de l'entreprise,
qui est pourtant positionnée sur un secteur en pleine concurrence.
Odile
COGNET / Global Photo
Fiche entreprise
:
Date de création de Villages hôtel : 1989, premier hôtel ouvert en Bourgogne
en juillet 1990
Nombre d'implantation
de villages hôtel en France : 41 établissements
Chiffre d'affaires
1999 : 140 millions de francs
Progression : + 20% par an depuis 10 ans
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15
000 personnes en Bourgogne
Pôle automobile :
la Bourgogne a une carte à jouer
On ne le sait pas suffisamment : il y a plus d'emplois en Bourgogne dans
le secteur automobile qu'il n'y en a dans celui de l'agroalimentaire.
La région compte en effet 180 entreprises ayant une activité
directement liée à l'industrie automobile et qui emploient
près de 15 000 personnes, dont 5 000 en Côte-d'Or.
Mais cette culture automobile dijonnaise et bourguignonne s'appuie plus
globalement sur les secteurs de la mécanique, de l'électrique-électronique,
et du plastique-caoutchouc, Iveco à Bourbon-Lancy et les grands
équipementiers présents en Bourgogne (Valéo, TRW,
Faurecia, KSDSE ou Benteler) bénéficiant de cette sous-traitance
de proximité.
Plusieurs facteurs
Quelques chiffres encore : l'industrie automobile régionale réalise
un chiffre d'affaires de 7 milliards de francs (1,6 milliard d'euros)
et a généré en 1999/2000 des investissements de l'ordre
de 1,8 milliard F, liés principalement à des augmentations
de capacité et à la recherche d'une plus grande productivité.
Plusieurs facteurs expliquent ce constat.
Facteur historique avec, par exemple, la présence de Peugeot à
Dijon depuis le rachat des usines Terrot en 1957 (l'établissement
Peugeot de Dijon a été repris depuis par l'équipementier
japonais Koyo, donnant naissance à la société KSDSE).
Facteur géographique ensuite : 50 % des sites des constructeurs
et des équipementiers automobiles en Europe ne sont qu'à
un jour de camion de la Bourgogne et de nombreux sites de constructeurs
et équipementiers, situés à moins de 400 km, sont
livrés en « juste à temps » par les fournisseurs
bourguignons.
Facteur politique également : voulu par François Mitterrand,
le circuit automobile de Nevers-Magny s'est imposé comme un pôle
technologique important, attirant à lui entreprises de pointe et
savoir-faire.
Facteur pédagogique aussi : la présence en Bourgogne de
l'ISAT à Nevers ou de l'ESIREM à Dijon, mais aussi d'autres
formations supérieures liées à l'automobile, renforce
les compétences régionales.
Gagner en productivité
Dans ce contexte, le pôle automobile Dijon Bourgogne, créé
en 1993, a toutes les raisons de se développer. Longtemps centré
sur la seule agglomération dijonnaise, il s'est ouvert depuis deux
ans à l'ensemble des entreprises du secteur automobile bourguignon
sous l'impulsion de Dijon Promotion qui l'anime et des industriels qui
le font vivre.
« Gagner en productivité, voilà le maître mot
dans notre métier », explique Philippe Winter, patron de
Plasto et président du pôle. « Pour cela il faut favoriser
les échanges, développer des relations d'affaires, promouvoir
nos métiers et nos compétences mais aussi prospecter et
accueillir de nouveaux projets ».
En s'ouvrant à toute la région, le pôle automobile
souhaite passer dans un premier temps de 40 entreprises adhérentes
à une soixantaine. Et alors que les évolutions technologiques
touchant les matériaux, les services et produits finis et les process
donnent un nouvel élan au secteur, le pôle souhaite qu'une
véritable démarche collective régionale permette
un développement rapide de l'automobile en Bourgogne.
Frank MAUERHAN
Contacts : Philippe Winter (Plasto) - Tél. 03.80.44.72.10. Daniel
Meyer (CCI Dijon) - Tél. 03.80.65.92.79. Aleth Saint-Hillier (Dijon
Promotion) - Tél. 03.80.68.02.90. Site web :
www.autobourgogne.com
Mis en ligne le Mardi, 13 novembre 2001
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© Copyright Le
Bien Public
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Le
site Kaptech |
KAPTECH décolle
à la verticale
Initialement positionnée
sur le créneau porteur des communications à prix
réduit à l'attention des professionnels, Kaptech va proposer
en 2002 une offre spéciale ADSL...
Les références
bourguignonnes de l'agence dijonnaise Kaptech, implantée seulement
depuis juin 1999 sont étonnantes : le Conseil régional,
la mairie de Dijon, la CRCI (Chambres Régionales du Commerce et
de l'Industrie), Péchiney, Boisset, Koyo : au total, une cinquantaine
de grandes entreprises et de collectivités qui ont adhéré
à la formule de télécommunications pas chères
de Kaptech. "Nous avons accroché les plus belles entreprises
régionales", s'enorgueillit Patrick Naigeon, qui emploie 12
personnes.
Le secret du succès ? "Des tarifs de communication alléchants
(20 à 35% moins chers que ceux de France télécom),
sur un réseau propre à l'entreprise, vendus par une équipe
commerciale de proximité (32 agences en France)", confie le
directeur de l'agence de Dijon. L'entreprise connaît son marché
: elle a été créée en 1995 par Jean-Pierre
Souviron, ancien directeur des affaires industrielles à la Direction
générale de télécommunications.
Ce connaisseur à fait passer 6500 km de fibres optiques à
travers l'Hexagone en utilisant essentiellement la domanialité
des Voies navigables de France. Vingt-deux boucles locales permettent
ainsi de relier chaque point du territoire à ce backbone (réseau
interconnectant les différents éléments de ce réseau
à Kaptech).
Contourner
le fournisseur d'accès national
"Dans certaines zones géographiques, Kaptech est contraint
d'utiliser le réseau de France Télécom. Mais avec
la mise en place du dégroupage à Dijon, la firme high-tech
devrait éviter le paiement d'une redevance à l'opérateur
national", explique Patrick Naigeon, en faisant référence
à la possibilité de rendre les abonnés à un
fournisseur d'accès en les rendant indépendants de celui-ci.
Dans la capitale bourguignonne par exemple, Kaptech a finalement choisi
de ne pas soumettre sa candidature à l'appel d'offres lancé
par l'Autorité de régulation des télécommunications
(ART) pour une boucle locale radio. Son projet N°1 porte désormais
sur l'ADSL : il consiste à proposer à sa clientèle
composée uniquement de professionnels un accès Internet
haut-débit avec une réduction tarifaire conséquente.
L'équipe devrait compter 14 à 16 personnes en 2002. Une
année importante pour le groupe Kaptech, puisqu'il entend équilibrer
ses comptes à cette date.
Nicolas JACQUIN / Global Photo
vendredi 21 décembre 2001
©
Copyright http://www.creascope.net
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Autres
sujets |
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Ils
ont choisi Dijon pour implanter leurs activités.
Les
centres d'appels (call-center)
Les
trophées 2001 de l'agence NTIC |
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Dijon
Béton ouvre une onzième centrale
Entreprises Industrie
- Dépêche Est
Dijon Béton, installée à Dijon depuis
1965, vient d'ouvrir sa onzième centrale à béton dans
la plaine de la Saône, sur le territoire de la commune d'Athée,
à proximité des sablières.
Cette infrastucture est équipée d'un malaxeur de 2 m3 qui
permet de charger un camion en 3 ou 4 minutes. Quatre sortes de ciments
sont stockées, de même que six sortes de granulats et une dizaine
d'adjuvants, pour répondre à la demande des bétons
modernes.
(le 18/12/2001)
Source : http://www.lemoniteur-expert.com
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Moins
de trois ans après sa création en Bourgogne,
la start-up AZ Média a décidé de renforcer sa
croissance externe en s'implantant hors de sa région.
Description d'un parcours sans faute.
"Dès l'origine,
notre concept s'est voulu simple : regrouper au sein d'une même
structure la communication imprimée, l'internet (créations
et hébergements de sites) et le marketing direct", explique
Jean-Michel Pluvinage, fondateur et PDG d'AZ Média, créée
à Chenôve (Bourgogne) en août 1999.
"Grâce à cette réunion de compétences,
nous sommes en mesure d'offrir une large panoplie de services informatiques
en Bourgogne ; nous sommes ainsi la seule entreprise régionale
à utiliser une presse offset numérique, laquelle permet
de traiter directement les documents depuis un ordinateur". Environ
70 machines de ce genre - dont le coût unitaire frôle les
460.000€ - sont en fonction en France.
Alors que 70% des clients d'AZ Média sont originaires de Bourgogne,
l'entreprise vient de se tourner vers la région Rhône-Alpes
en acquérant la société lyonnaise Switch On, spécialisée
dans les activités de pré-presse, d'Internet et d'impression
numérique. L'activité commerciale de la nouvelle structure
- AZ Média Rhône-Alpes - a d'ailleurs débuté
fin 2001. "Pour le lancement sur la région, nous allons nous
appuyer sur l'activité passée de Switch On et sur l'infrastructure
de Dijon", explique Jean-Michel Pluvinage.
L'entreprise de Chenôve n'en est pas à son coup d'essai en
matière de croissance externe : quelques mois après sa création,
AZ Média avait déjà racheté le pionnier dijonnais
de l'Internet Webisoft. Et pour son fondateur, "les compétences
de l'entreprise l'amèneront de plus en plus sur le terrain des
agences de communication".
La start-up emploie plus de dix personnes. Quant à son chiffre
d'affaires, passé de 650.000€ lors du premier exercice à
près de 850.000€ l'année dernière, il devrait
atteindre les trois millions d'euros d'ici 2004.
Nicolas JACQUIN / Global Photo
vendredi 25 janvier 2002
©
http://www.creascope.net
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