Dijon
: le grand choix
Signe
de bonne tenue du marché, les prix progressent dans le haut-de-gamme.
Rénové, le centre historique (immeubles XVIIe ou XVIIIe)
monte à plus de 10 000 francs le m2 dans les plaisantes rues
Vauban ou Verrerie. Les rues Jeannin, Tivoli et dAuxonne (réhabilitation
prévue) sont intéressantes pour les acheteurs au budget
serré mais désirant être proches du centre.
Au sud,
le Parc (maisons de maîtres) cote très haut (jusquà
11 000 francs le m2) mais lon y trouve malgré tout des logements
plus ordinaires (8 000 francs le m2).
Au nord,
pour bénéficier dune vue dégagée et
de tranquillité, il faut chercher vers les hauteurs (rue
de Montchapet, avenue Victor-Hugo), qui offrent un choix varié
(immeubles fin XIXe, villas bourgeoises et pavillons daprès-guerre).
Plus
au nord, la récente Toison-dOr propose des logements (10
000 francs le m2) autour du parc de loisirs, aménagé
dun réseau de pistes cyclables et pourvu dun centre commercial.
À
l'est, Mirande alterne les petits immeubles collectifs et les pavillons
1930 (jusquà 9 000 francs le m2).
Au nord-est,
aux Grésilles, les pavillons 1950 partent à moins
de 6 000 francs le m2.
En périphérie
nord, Fontaine-lès-Dijon associe un cadre agréable,
un bon réseau de transports et des impôts locaux modiques.
F. Br.
Le
Nouvel Obs
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